Vive les joies de la colocation (1ère partie)

Voilà qui concerne principalement les étudiants et qui présente essentiellement des avantages
économiques. Pour le reste, on repassera…
  « Si tu as un meilleur ami, ne vis surtout pas avec lui », c’est le conseil glissé par un oncle à son neveu en chemin pour une
nouvelle vie d’étudiant, loin de son cocon familial. Il ne croyait pas si bien dire… Vivre en colocation, c’est accepter ou se résigner
à partager les parties communes d’un espace avec d’autres personnes en échange d’une mutualisation du loyer et/ou des différentes charges inhérentes à la location. C’est un mode de logement plébiscité par
les étudiants et les jeunes adultes, même si on constate qu’en temps de crise, des adultes ferment de moins en moins la porte
à ce genre d’expériences. Tous les colocataires sont censés apparaître sur le contrat de bail et ils sont
solidaires du paiement du loyer, des réparations éventuelles en cas de casse dans l’appartement, et pour tous autres problèmes causés par leur usage supposé collectif des murs et installations où ils vivent.
Ainsi il s’agit pour les colocataires de partager les frais mais aussi l’espace de vie…
Cela peut très bien se passer, avec des personnes qui se comprennent et s’apprécient davantage au fur et à mesure de la
colocation, comme ce peut être une guerre de tranchées, le genre où on se lance à la
figure insultes, pamphlets ou dentifrice.
En général, les problèmes de colocation concernent les difficultés de paiement d’un
ou plusieurs des colocataires, l’hygiène défectueuse, le départ précipité d’un des colocataires (qui peut engrainer l’incapacité des autres à trouver un remplaçant ou leur insolvabilité), la solidarité en cas de
dégâts causés par une seule personne, le bruit (musique, films, fêtes surprises…)
ou le manque de respect. Certes, les humains ont de la ressource, vous trouverez évidemment d’autres causes. Pour éviter
que ça coince, certains se renseignent sur les habitudes des futurs colocs ou posent
par écrit un certain nombre de conditions à respecter. Là non plus, rien n’interdit d’être
innovant. (À suivre)

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