Au boulot aussi, on vous note et de bien des manières (1re p.)

Les tests de recrutement, d’orientation ou d’évaluation ne sont plus uniquement des tests de quotient intellectuel (Q.I). D’autres critères rentrent en ligne de compte…

 Les tests ont investi l’environnement immédiat des directions de ressources humaines, y compris du temps où il ne s’agissait encore que de directions du personnel. L’idée en est simple : après avoir vérifié au long cours la compréhension et l’apprentissage par les élèves, ces derniers parvenus à l’âge adulte, devaient pouvoir être évalués, notamment au moment d’intégrer le marché de l’emploi. Les entreprises ont pendant longtemps privilégié le test de quotient intellectuel pour leur personnel d’encadrement, notamment parce que pendant longtemps ce test était réputé fiable pour mesurer l’intelligence.

Au fur et à mesure que d’autres mesures que la logique, le calcul et le raisonnement ont été plus généralement acceptées pour déterminer l’intelligence des individus.  De plus, en fonction des besoins du terrain, les tests ont été revus et complétés ; un impératif pour favoriser l’adéquation formation-emploi et même, dans une certaine mesure et pour peu que les spécialistes de la formation initiale s’en saisissent, un instrument en faveur d’une meilleure définition des contenus.

Qu’est-ce qui a changé ? Les entreprises se sont mises à préparer ou commander des tests spécifiques : tests de recrutement, tests d’orientation et d’aptitudes, tests d’évaluation, tests psychométriques, tests de raisonnement, tests de logique, tests de calcul, tests d’expression et bilans de compétences.

Conçus à la base par des psychologues en collaboration avec des experts métiers et des spécialistes de la formation, chacun de ces tests a vocation à identifier les points forts et les points faibles du candidat. Certains tests sont davantage adaptés à un type de profil basé sur le niveau d’études ou l’expérience acquise. Le temps que les candidats passent sur ces tests varie de quelques minutes à plusieurs heures. Il n’y a pas de fatalité à passer un test, il faut s’y préparer et plus généralement booster ses acquis et compétences. (A suivre)

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