La chasse aux cours du soir est ouverte !

Choisir la formation continue est une excellente option pour se former et même obtenir de nouveaux diplômes sans renoncer à son emploi.

Comment s’organiser pour concilier formation continue et vie familiale ? C’est à cette question que nous nous attaquons cette semaine. On l’a déjà dit, à la différence de la formation initiale configurée pour des étudiants qui passent le plus clair de leur temps à acquérir du savoir et du savoir-être, la formation continue s’adresse essentiellement à des professionnels déjà en activité. Dans les formations évoquées ici, il faut sans doute englober les formations dispensées par les multinationales ou les grosses structures à leurs employés (ce qui parfois suppose un regroupement des collaborateurs des filiales et succursales au siège, loin de leurs bases, ce qui entraîne des horaires impossibles à maîtriser) mais aussi et surtout les formations académiques dispensées par des instituts supérieurs privés ou publics ; et bien sûr toujours payantes.

On veut donc raccommoder des cours du soir et de weekend avec une vie personnelle épanouie… Beau challenge que peu de profils réussissent, obligés qu’ils sont de choisir. De quels profils parlons-nous ? De cadres ou de personnes en situation de le devenir. On parle aussi et surtout d’hommes et de femmes déjà en activité, ce qui nous ramène à un déséquilibre devant la formation continue quand on tient compte de nos structures familiales où la femme en fait plus que tout le monde dans la vie familiale (performance au travail, maintien de la maison dans un état convenable avec ou sans l’aide de domestiques, présence quasi obligatoire dès qu’un enfant est malade, etc.).

Cela dit, la formation continue demande du temps et des efforts. Ces efforts doivent être canalisés en même temps qu’il faut apprendre à mieux gérer son temps. Tout cela génère de la fatigue et du stress. La famille tout entière doit se mobiliser autour du projet en guise de soutien ; sinon ça ne marche pas. Soit on n’a plus de famille du tout, soit on ressent de la culpabilité du fait du temps absorbé par la formation…