Accepter les embouteillages peut aider à se calmer !

Entre lecture, musique et réflexion, voici quelques trucs pour passer le temps durant l’embouteillage…

C’est clair… les embouteillages vont nous occuper encore un bon moment. C’est énervant, c’est fatigant, c’est ankylosant mais c’est comme ça… Vu qu’ils s’installent durablement (de plus en plus de véhicules dans les grandes villes, rétrécissement des voies, travaux de tramway modifiant considérablement le paysage et l’espace de circulation), autant essayer de prendre son mal en patience. Il s’agit ainsi de se trouver de nouvelles activités pour faire de ce temps passé sur des petits tronçons de route un temps un peu utile. Soyons clair, il ne faut pas s’attendre à trouver l’idée de livre qui vous donnera le Goncourt, ou à finaliser complètement vos dossiers comptables et financiers. C’est plus terre-à-terre…

D’abord, la quasi-totalité des véhicules étant équipées de la radio et d’un lecteur, écouter la musique, les infos, les émissions est une bonne solution pour évacuer un peu le temps. A condition que la programmation s’y prête.

Autre activité sacrée pendant les embouteillages, la réflexion. Si vous avez la chance d’être dispensés de klaxons, c’est idéal ! Que ce soit pour le boulot, pour des choses personnelles ou pour l’avenir au sens large, vous avez besoin de temps et vous n’en trouvez pas en général. Pensez donc à cette fourchette « inespérée ». Si vous avez un petit carnet, essayez de griffonner, pourquoi pas ?

Vous avez peut-être aussi pensé à manger ou boire, une obligation si vous avez la quasi-garantie que vous ne pourrez pas aller déjeuner avant un rendez-vous… Mais prudence car la priorité c’est la route. Idem pour le téléphone, étant à l’arrêt de façon durable (la précision est importante), prenez soin d’utiliser les écouteurs ou tout autre dispositif mains libres. Si vous n’êtes pas seul(e), vous pouvez toujours engager la discussion. Quelle que soit votre activité, essayez de ne pas klaxonner. Dans tous les cas, il faut « accepter » la situation car l’énervement mène à l’accident !

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