Vos informations stratégiques doivent absolument être sous contrôle 1ère partie

Si l’argent est le nerf de la guerre (même économique), l’information est sans doute la première richesse de l’entreprise, loin
devant les ressources humaines ou techniques.

L’information, qu’elle soit juridique, technique, commerciale, financière, stratégique… détermine le passé, le présent
et l’avenir de l’entreprise. Les idées originales, les projets nouveaux, les fichiers clients & fournisseurs, les plans marketing, le détails des offres commerciales, les taux préférentiels obtenus auprès des partenaires, les projets de rapprochement, les intentions de recrutement, les résultats de semaines ou de mois de travail recueillis dans des rapports, etc. sont autant d’informations qui constituent le véritable noyau de ce qu’est une entreprise.Pour être véritablement la propriété de
l’entreprise, ces informations ne peuvent indéfiniment rester dans les têtes ; en cas de départ, tout fuirait. Il y a donc un enjeu
à canaliser l’information, à la formaliser et à l’archiver pour l’utiliser à bon escient.

À ce titre, les nombreux outils informatiques mis à la disposition des entreprises avec les progrès continus des nouvelles technologies de l’information et de la communication sont une aubaine : les entreprises qui l’ont compris ont les moyens de capitaliser dessus pour continuer de croître, accompagner leur progrès et consolider, ou prendre de nouvelles parts de marché.
Mais l’avalanche de moyens techniques a aussi des conséquences négatives sur la gestion de l’information au sein de
l’entreprise. Si les bureaux virtuels se sont multipliés, les réunions virtuelles ne sont pas non plus en reste.

À une époque où on peut réunir dans une même salle de réunion des personnes qui sont à des centaines voire des milliers de kilomètres, il arrive aussi fâcheusement que des personnes non autorisées, physiquement absentes de la réunion pour des raisons
évidentes de confidentialité ou de niveau de responsabilité, assistent à la réunion et interceptent des informations capitales
pour la survie de l’entreprise. Des espions à la James Bond ? Non, simplement des individus lambda rentrés par le biais des
smartphones… (À suivre)